2ccd- STOP MOTION - STORY BOARD
STORY BOARD (définition wikipédia)
"Un scénarimage ou storyboard en anglais, est la représentation illustrée
d'un film avant sa réalisation. Il s'agit d'un document technique
généralement utilisé au cinéma en préproduction afin de planifier
l'ensemble des plans qui constitueront le film.
On y décrit l'ensemble des paramètres cinématographiques (cadrages,
mouvements de caméra et de personnages, raccords, etc.) avec la plus
grande exactitude possible, afin de visualiser et planifier le tournage
du film. Il est très pratique car il améliore la circulation des
informations entre les équipes de tournage, et constitue donc un outil
de référence lors de la production du film.
Les dessinateurs chargés d'illustrer chaque plan du découpage d'un scénario sont les les scénarimagistes ou storyboardeurs."
Dans le cadre du projet "Les gardiens de la nature", le format d'image utilisé pour le film est le format standard de l'application Stop motion studio : 4x3.
Pour réaliser le story-board, il faut utiliser une grille de cases aux bonnes proportions.
story-board simplifié :
Il faut représenter les plans essentiels à la compréhension de la globalité de l'histoire.
Le scénario, est votre point de départ :
- Repérer les actions et les détails clés de l'histoire en mettant en évidence les arcs narratifs (intro - problème - résolution - dénouement).
- Repérer le(s) lieu(x) et le(s) personnage(s).
- Réfléchissez à la mise en scène (les différents plans, mouvement de caméra, ambiance, lumière, sons...)
Un storyboard est un outil visuel, mais vous pouvez ajouter des idées et détails qui ne le sont pas. Par exemple :
- Ajoutez le dialogue et/ou les voix off de votre scénario à chaque vignette,
- Ajoutez des notes directionnelles ; telles que l'éclairage ou des effets sonores souhaité ainsi que les mouvements de la caméra,
- Numérotez vos vignettes pour qu'elles ne se mélangent pas,Préciser les émotions des personnages lors d’une scène,
VOCABULAIRE SPÉCIFIQUE :
un plan – une séquence : Un plan est l'unité de base du cinéma qui correspond à ce qui est filmé entre le moment où l'on déclenche la caméra et le moment où l'on arrête la caméra. Au tournage, on filme des plans. Au montage on assemble des plans entre eux pour former une séquence ou une scène. Une scène ou une séquence regroupent des plans autour d'une action unitaire. La scène est dans une continuité spatio-temporelle. On parle d'une scène dans un décor unique, mais d'une séquence de poursuite par exemple.
prise de vue : plongée - contre plongée - ordinaire
mouvement de caméra : plan fixe – caméra épaule - panote - panoramique – travelling - zoom
un champ : C'est ce qui apparaît à la caméra
hors champ - champ/contre champ - profondeur de champ
prise de vue : plongée - contre plongée - ordinaire
mouvement de caméra : plan fixe – caméra épaule - panote - panoramique – travelling - zoom
un champ : C'est ce qui apparaît à la caméra
hors champ - champ/contre champ - profondeur de champ
Le storyboard idéal contient suffisamment d'images pour raconter l'histoire du début à la fin de manière sensée.
Read more: https://www-movavi-com.translate.goog/learning-portal/how-to-make-storyboard.html/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=rq © Movavi.com
Le storyboard idéal contient suffisamment d'images pour raconter l'histoire du début à la fin de manière sensée.
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Les plans au cinéma
• plan rapproché (expression des personnages, dialogues) :Très gros plan - gros plan – plan poitrine
• plan moyen (actions) : plan taille – plan américain - plan moyen
• plans larges (descriptifs de l'environnement) : plan d'ensemble – plan général
• plan moyen (actions) : plan taille – plan américain - plan moyen
• plans larges (descriptifs de l'environnement) : plan d'ensemble – plan général
Le plan général
Le plan général consiste à filmer le sujet dans son environnement général. Le sujet est donc vu avec un certain recul puisqu'il est intégré à ce grand espace. C'est le plan idéal pour insister sur l'étendue de l'endroit filmé et sur la forte relation entre le sujet et le lieu où il se trouve.
Le plan d'ensemble
Le plan d'ensemble est un cadrage plus resserré que le plan général. Le sujet occupe une plus grande partie de l'image. Il est devenu identifiable, mais sa relation avec son environnement reste toujours prépondérante.
Le storyboard idéal contient suffisamment d'images pour raconter l'histoire du début à la fin de manière sensée.
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Le storyboard idéal contient suffisamment d'images pour raconter l'histoire du début à la fin de manière sensée.
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Le plan moyen
Le plan moyen est un cadrage resserré sur le sujet principal. Il doit apparaître en entier sur la photo. Dans ce genre de plan, on s'intéresse beaucoup moins au décor.
Le plan américain
Le plan américain consiste à cadrer un personnage à mi-cuisse.
Le plan rapproché
Il y a deux types de plans rapprochés : le plan rapproché taille et le plan rapproché poitrine. On ne voit que la partie supérieure du sujet (coupé à la taille ou à la poitrine comme le nom l'indique). Ce cadrage rapproché permet d'isoler le sujet dans le décor.
Le gros plan
Le gros plan consiste à cadrer une partie importante du sujet pour le mettre en valeur. Le décor est alors inexistant.
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Plans subjectifs
Un « plan subjectif » est un plan qui permet au spectateur d’adopter le point de vue d’un personnage, comme s’il voyait à travers ses yeux.Lorsqu’une séquence est filmée selon ce principe, on dit qu’elle est filmée en « caméra subjective ».
Différents types de raccords
Un raccord est la cohérence entre deux plans du film. Faute de cette précaution, la vraisemblance de l'ensemble des plans concernés peut être atteinte, voire détruite, et le spectateur sera perturbé dans sa réception du film.
La technique du raccord consiste à faire se succéder les plans en fonction :
• du mouvement : un personnage amorce un mouvement dans le plan 1 et le termine dans le plan 2.
• du regard : un personnage regarde hors champ dans le plan 1 et on voit l'objet de son regard dans le plan 2.
• du son : ce que l'on entend dans le plan 1 se poursuit selon la même intensité sonore dans le plan 2.
• de la lumière, du décor : ils doivent être homogène d'un plan à un autre.
• du mouvement : un personnage amorce un mouvement dans le plan 1 et le termine dans le plan 2.
• du regard : un personnage regarde hors champ dans le plan 1 et on voit l'objet de son regard dans le plan 2.
• du son : ce que l'on entend dans le plan 1 se poursuit selon la même intensité sonore dans le plan 2.
• de la lumière, du décor : ils doivent être homogène d'un plan à un autre.
Exemples de storyboards
Joseph Losey - film, Eva avec Jeanne Moreau.
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Extrait du dépouillement avec vignettes dessinées par Joseph Losey. |
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Extrait du storyboard d'Eva (Richard MacDonald © Richard MacDonald) |
Dans ces documents d'archive, les premières propositions de mise en scène sont dessinées par le réalisateur Joseph Losey dans le dépouillement du filme. Il s'agit d'un document dans lequel Losey dresse l'inventaire scène par scène des
éléments devant être réunis au moment de tourner, du temps qu'il doit
faire aux accessoires les plus infimes, en passant par les noms des
acteurs prévus dans la scène ou les indications techniques (type de
pellicule, de caméra...). Dans chaque vignette, Losey dessine le plan qu'il imagine pour la scène à tourner, soit l'image mentale du film à venir.
Le deuxième document est un extrait du storyboard du film, dessiné par Richard MacDonald
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Planche de storyboard du Salaire de la peur de Clouzot par le chef décorateur René Renoux (1951). |
Source documents : https://www.cinematheque.fr/article/1725.html
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| Bob Wilson, « Einstein on the beach, storyboards 1-13 », 1975 Portfolio de 13 dessins, mine graphite sur papier, 33 × 45 cm chacun (détail) © Photo : Philippe Migeat / Centre Pompidou / Dist.RMN-GP © Bob Wilson |
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Despicable Me 2 storyboards - Les minions 2
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